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LE THÉÂTRE DU BALCON
Direction : Serge Barbuscia

Fondé en 1983 par la Cie Serge Barbuscia, le Théâtre du Balcon s’est affirmé comme un lieu permanent et “emblématique” de la vie théâtrale avignonnaise. Espace de création et de diffusion, le Théâtre du Balcon a contribué à la découverte et à l'épanouissement de nombreux artistes,musiciens, comédiens, auteurs … qui ont su tisser la confiance d'un public exigeant et curieux.

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Théâtre du Balcon
www.theatredubalcon.org
tél : 04 90 85 00 80




 

LE THÉÂTRE DU CHÊNE NOIR
Direction : Julien Gelas

Compagnie de créations, le Théâtre du Chêne Noir, fondé par l’auteur-metteur en scène Gérard Gelas en 1967, dirigé par Julien Gelas, auteur, metteur en scène et pianiste, tourne ses mises en scène dans la France entière et bien au-delà. C’est aussi ce lieu emblématique permanent d’Avignon, qui accueille été comme hiver des artistes de grand renom comme de jeunes talents à découvrir.


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Théâtre du Chêne Noir
www.chenenoir.fr
tél : 04 90 86 74 87




 

LE THÉÂTRE DU CHIEN QUI FUME
Direction : Gérard Vantaggioli

Le Théâtre du Chien Qui Fume - Scène d’Avignon - lieu de rencontres, de créations, de découvertes, d’aventures et d’émotions. Haut lieu du spectacle vivant, plus particulièrement dédié à la création contemporaine, il est installé en plein cœur historique de la ville, dans la rue pavée des teinturiers où tournent les roues à aubes. Gérard Vantaggioli, fondateur, auteur, metteur en scène s’attache à programmer avec convivialité et qualité.

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Théâtre du Chien Qui Fume
www.chienquifume.com
tél : 04 90 85 25 87




 

LE THÉÂTRE DES HALLES
Direction A. Timár 

Le Théâtre des Halles a été fondé par Alain Timár en 1983. Au fil des découvertes et des créations artistiques, la programmation du Théâtre des Halles suit sa voie : associer un public le plus large possible à l’exigence d’un théâtre d’aujourd’hui. Scène permanente, le TDH est identifié comme un lieu d’ouverture, d’échanges et de recherche.

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Théâtre des Halles
http://www.theatredeshalles.com/
tél : 04 32 76 24 51



 

LE THÉÂTRE DES CARMES
Direction : Sébastien Benedetto

En 1963, la troupe d'André Benedetto s'installe dans une ancienne salle paroissiale avignonnaise, la Salle Saint-Benoît, qui deviendra le Théâtre des Carmes, et y joue pour la première fois à l'hiver 1963. C'est une création d'André Bendetto, LePilote d'Hiroshima,qui donne le coup d'envoi.
En 1966, la Nouvelle Compagnie d'Avignon présente en marge du festival d'Avignon Statues d'André Benedetto, et lance le OFF « sans le vouloir ».
Jusqu'en 2009, André Benedetto a dirigé le Théâtre des Carmes.
En mars 2010, le conseil d'administration de la nouvelle Compagnie d'Avignon a nommé Andriève Chamoux et Sebastien Benedetto codirecteurs du Théâtre des Carmes.
Depuis 2014, Sébastien Benedetto dirige seul le Théâtre des Carmes.

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Théâtre des Carmes
www.theatredescarmes.com/
tél : 04 90 82 20 47




 

Théâtre Transversal
Direction : Laetitia Mazzoleni


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Théâtre Transversal
https://theatretransversal.com/

tél : 04 90 86 17 12



LE FEUILLETON DES SCÈNES D’AVIGNON

Sébastien Benedetto directeur du Théâtre des Carmes, Gérard Gélas fondateur du Théâtre du Chêne noir, Serge Barbscia fondateur du Théâtre du Balcon, Alain Timar fondateur du Théâtre des Halles, Gérard Vantaggioli fondateur du Théâtre du Chien qui fume, racontent en 13 épisodes leur histoire et celle de leur théâtre.

Conception, modération, réalisation : Michel Flandrin.
Régie, prise de sons : Sébastien Lebert, Franck Michallet.
Voix : Marion Bajot.
Musique originale : Sébastien Benedetto.
Coordination : Sylviane Meissonnier.
Remerciements : Axel Cesare.

Épisode 1 :
A l’origine. Gérard Gélas fut un enfant du Rock (et de Marino Marini) puis de Jean Vilar, suite à plusieurs soirées dans la Cour d’honneur, Alain Timar pousse la porte du théâtre grâce à une tante analphabète et s’ouvre aux arts plastiques par une boîte de couleurs. Sébastien Benedetto accède aux arts et à la musique par imprégnation, dans le foyer, la salle et le plateau du Théâtre des Carmes. Gérard Vantaggioli découvre le Festival d’Avignon par gardien de but interposé. Chez Serge Barbuscia on causait et chantait l’opéra mais l’émotion était déjà là.
Durée : 11 minutes.

 

Épisode 2  :
Ça se précise. Gérard Vantaggioli est dans la classe de Paul Puaux, instituteur et compagnon de Jean Vilar. Au lycée Mistral, Alain Timar fréquente la classe-théâtre animée par Hubert Jappelle dont la compagnie théâtre-marionnettes vit dans la cité des papes. Après avoir écumé les dancings avec « Les vampires », Gérard Gélas entreprend de mettre ses poèmes en musique. Évidence de la passion, Sébastien Benedetto, c’est certain, sera compositeur. A Marseille et aux alentour, Serge Barbuscia creuse son sillon vers le jeune public.
Durée : 12 minutes.



Épisode 3  :
Vivre, grandir à Avignon. Gérard Vantaggioli pousse dans les remparts, s’émerveille des inondations. Gérard Gélas et Sébastien Benedetto vont à la ville, le premier marche, fantasme dans les ruelles. Pour le second, ici, il y a de l’effervescence donc des opportunités. Habitué des stades et des zones de lancer, Serge Barbuscia s’imprègne de la puissance des vieilles pierres. D’études en rencontres, Alain Timar s’amarre à Avignon, la ville des possibles.
Durée : 10 minutes.



Épisode 4  :
Avoir sa maison. Exilé en Italie, Gérard Gélas décide de former sa compagnie et l’installe à Avignon, rue Saint Joseph. Gérard Vantaggioli imagine son théâtre dès qu’il pousse la porte d’une ancienne usine de garance, rue des teinturiers. A la mort subite de son père, Sébastien Benedetto et ses proches s’interrogent sur l’avenir du Théâtre des Carmes. Habitué de la saison d’été. Serge Barbuscia décide, à l’orée des années 80, de vivre à Avignon l’hiver. A la même époque, une ancienne imprimerie adossée à une chapelle du XIVème siècle sera le lieu de travail et d’accueil souhaité par Alain Timar.
Durée : 11 minutes.

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Épisode 5  :
Troupe ou pas troupe. Aux origines du Chêne Noir, Gérard Gélas considérait sa bande de comédiens-musiciens comme un moteur d’activités essentiel. Serge Barbuscia déplore le tournant des années 80 où les impératifs de gestion favorisèrent l’expansion de l’intermittence au détriment des collectifs. A la troupe, Alain Timar préfère la famille dont les membres se regroupent autour de projets. Depuis son enfance Sébastien Benedetto est convaincu de la force du travail en commun. Gérard Vantaggioli reste nostalgique de la troupe hélas incompatible avec les équilibres financiers.
Durée : 12 minutes.

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Épisode 6  :
Créateurs-directeurs. Deux métiers différents pour Sébastien Benedetto et Gérard Vantaggioli. Le premier se prend au jeu. Le second a appris sur le tas un métier auquel il ne se destinait pas. Serge Barbuscia se définit comme un « diracteur » qui confronte sa pratique à d’autres points de vue. Gérard Gélas déplore le syndrome de l’attaché-case et l’hégémonie de l’administratif. La casquette de directeur artistique permet à Alain Timar de satisfaire sa curiosité vers d’autres sensibilité et d’autres personnalités.
Durée : 10 minutes.

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Épisode 7  :
Parlons dames ! Pour Gérard Vantaggioli, Danièle, son épouse est « La déesse de l’administration ». Pour Sébastien Benedetto, couples, familles, tout est lié. Mères de ses enfants, Nicole et Lys ont joué un rôle essentiel dans la vie et la trajectoire de Gérard Gélas. Laurette est l’alter ego d’Alain Timar, qui compte désormais à ses côtés sa fille Alexandra. Serge Barbuscia constate que son théâtre est devenu la seconde maison, de sa famille et son équipe.
Durée : 10 minutes.

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Épisode 8  :
Avignon, ses festivals part 1. Sans Festival pas de Scènes d’Avignon. Dès ses premiers juillets dans la Cité des papes, Serge Barbuscia perçoit une possibilité de jouer longtemps et de rencontrer beaucoup. Pour Alain Timar, le Festival reste un endroit incroyable pour croiser le Monde. « Je t’aime moi non plus », l’expression pourrait résumer les sentiments de Gérard Gélas vis à vis d’une institution qui l’accueilli avant de l’écarter.

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Épisode 9  :
Avignon, ses festivals part 2. Depuis son plus jeune âge, Sébastien Benedetto vit le Festival comme un temps de cohabitation avec des talents venus d’ailleurs. Même sentiment pour Gérard Vantaggioli qui se sent ni « in » ni « off » puisqu’il est d’ici. Grâce à Alain Leonard et son association « Avignon Public Off », le fondateur du Théâtre du chien qui fume a pris conscience des multiples enjeux à la marge du Festival. Chaque été, les scènes d’Avignon ne constituent pas les « régionaux de l’étape », mais force de proposition en vue d’une future « Bataille d’Avignon.
Durée : 14 minutes.

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Épisode 10  :
Scènes d’Avignon, lieux de programmation. Espaces de création, les « Scènes » proposent une affiche d’été et une saison d’hiver. Celles ci découlent de dialogues, de compagnonnages noués au fil des années. Si les considérations financières ne sont pas négligées, elles n’occultent jamais la pensée des projets. L’inflation estivale bouscule le calme hivernal pour ces francs tireurs, programmateurs malgré eux, dont les critères de choix appréhendent l’artistique sans négliger l’humain.
Durée : 13 minutes.




Épisode 11  :
Conventionnement : droits et devoirs. Les compagnies, les théâtres qui composent les « Scènes d’Avignon » sont soutenus à des degrès divers par les tutelles publiques : Ministère de la culture, Conseils régional et départemental, Ville d’Avignon. Disparates d’un lieu ou d’une année à l’autre, ces aides conditionnent les projets et les fonctionnements. Si les uns s’adaptent aux fluctuations, d’autres ruent dans les brancards ou montent sur la table.
Durée : 11 minutes.



Épisode 12  :
Les Scènes d’Avignon, les origines. Le regroupement découle de l’annulation du Festival d’Avignon, à la veille de son ouverture, en 2003. Appelés à « sauver l’été avignonnais », les 5 directeurs puisent une force dans leurs différences. Ils décident de prolonger cette unité sur des actions communes (le Fest’hiver). La modification du paysage culturel associé aux aléas de l’actualité, poussent les « Scènes » à s’interroger sur leur évolution et d’éventuelles inclusions.
Durée : 12 minutes.



Épisode 13  :
L’avenir et après. Imaginé par Serge Barbuscia, accompagné par Le Festival d’Avignon au cœur du Palais des papes, « Le souffle d’Avignon » constitue pour les « Scènes » une nouvelle étape dans leur existence. Si chacun se préoccupe du devenir du lieu, de sa transmission, l’immédiat reste l’impact de la pandémie sur l’été 2021 : mesures factuelles et modifications plus profondes. Pour terminer, Sébastien Benedetto, Gérard Gélas, Serge Barbscia, Alain Timar, Gérard Vantaggioli répondent à la « Question à 1000 euros ».
Durée : 12 minutes.




Scènes d'Avignon
16, rue du puits tarasque - 84000 Avignon


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